Le droit au travail des réfugiés placés sous la protection du droit international est examiné à partir du cas du Costa Rica qui, entre 1979-1990 a été un pays d'asile et d'immigration clandestine. L'article montre que la présence des immigrés sans papiers a contribué à la restriction des droits à l'emploi des réfugiés reconnus, et l'étude comparative de leur accès au marché du travail révèle que l'insertion professionnelle des clandestins est - bien qu'illégale - meilleure que celle des réfugiés.
Au cours de la Conférence Internationale sur les Réfugiés Centraméricains (CIREFCA) qui s'est déroulée en Mai 1989 au Guatemala (Guatemala City), des améliorations ont été notées, notamment en ce qui concerne la situation des réfugiés Salvadoriens et Nicaraguayens, ainsi que pour celle des réfugiés Centraméricains présents au Mexique, au Honduras, au Costa-Rica et au Belize.
Analyse des décisions prises par le Congrès aux Etats-Unis en matière de législation en liaison avec les mouvements récents de réfugiés Chinois, Soviétiques, Salvadoriens, et Nicaraguayens.
Le devenir des réfugiés Salvadoriens et Nicaraguayens après la fermeture en 1990 des camps de réfugiés de Colomoncagua au Honduras et de Pueblo Nuevo de Limon au Costa Rica.
En 1990, les contras Nicaraguayens, réfugiés au Honduras, ont été démobilisés puis rapatriés sous l'égide du HCR, de l'ONU et de troupes vénézuéliennes.
Description et intervieuws de réfugiés Nicaraguayens aux Etats-Unis et les raisons de leur départ.
Analyse des problèmes économiques liés aux dépenses pour la santé posés par l'arrivée aux Etats-Unis (Floride) de migrants principalement agés et venant des Etats du nord et du centre ouest des Etats-Unis ainsi que des réfugiés, Cubains, Haïtiens et Nicaraguayens.