Cet article met en relief l'existence d'une typologie complexe de mécanismes de migration et de trafic de femmes équatoriennes et colombiennes en Espagne.
Internet entre dans sa deuxième phase : être "la société d'information pour tous" : les cyber-cafés permettent d'instaurer des relations interculturelles entre les migrants, des relations avec leurs pays d'origine. Cela favorise la lutte contre l'exclusion, puisque les migrants peuvent échanger leurs savoirs en informatique et mettre en pratique ensemble leurs connaissances.