S'il est clair aujourd'hui qu'au Honduras prédomine le métissage, les intellectuels honduriens n'incluent pas dans l'histoire ethnique du pays la puissante communauté arabo-palestinienne. Cet article analyse sa présence et la relation entre une "Honduras métisse" et les "autres" Honduriens, les décrets de 1929 et de 1934 mettant en application la politique d'immigration de l'époque et l'indifférence des intellectuels honduriens pour l'histoire de la Palestine dans le propre contexte de l'histoire du métissage hondurien.
Les auteurs, mettant en évidence, dans un premier temps, les problèmes auxquels sont confrontés les organismes s'occupant de réfugiés, et les réfugiés eux-mêmes, face à la détérioration croissante de l'environnement, décrivent, par la suite, deux exemples de reboisement qui ont permis, au Pakistan, "d'allier le sauvetage de l'environnement avec des activités génératrices de revenus" pour les réfugiés Afghans et, au Honduras, de travailler directement avec les Indiens Miskitos.
Un premier article retrace le retour, au Nicaragua, des Indiens Miskitos qui, il y a une dizaine d'années, avaient fui leur pays pour trouver refuge au Honduras. Un second article analyse la situation économique, sociale..., des milliers de réfugiés Guatémaltèques-dont la majeur partie est composée d'Indiens Mayas-installés au Mexique.
Etude mesurant les effets du rationnement alimentaire sur le comportement et la santé des réfugiés latino-américains dans certains camps de réfugiés du Mexique et du Honduras.
Analyse des conclusions de l'évaluation finale d'un projet CEE-OIM (1984-1989) visant à encourager le retour et la réinsertion au pays d'origine, dans des secteurs vitaux, de cadres Centraméricains émigrés. A partir d'entretiens avec des rapatriés et employeurs locaux des trois pays d'Amérique Centrale, de République Dominicaine et de Panama, l'auteur examine : 1) les secteurs d'activité auxquels ces cadres ont été affectés; 2) la réussite de leur réinsertion sociale et économique; 3) le rapport coût-bénéfice du projet; 4) sa contribution aux politiques de développement régional, et son adéquation aux politiques multilatérales de développement ainsi qu'au contexte d'exode des cerveaux du tiers monde.
Au cours de la Conférence Internationale sur les Réfugiés Centraméricains (CIREFCA) qui s'est déroulée en Mai 1989 au Guatemala (Guatemala City), des améliorations ont été notées, notamment en ce qui concerne la situation des réfugiés Salvadoriens et Nicaraguayens, ainsi que pour celle des réfugiés Centraméricains présents au Mexique, au Honduras, au Costa-Rica et au Belize.
Le devenir des réfugiés Salvadoriens et Nicaraguayens après la fermeture en 1990 des camps de réfugiés de Colomoncagua au Honduras et de Pueblo Nuevo de Limon au Costa Rica.
En 1990, les contras Nicaraguayens, réfugiés au Honduras, ont été démobilisés puis rapatriés sous l'égide du HCR, de l'ONU et de troupes vénézuéliennes.
Un reportage sur une opération de rapatriement de 121 Indiens miskitos réfugiés au Honduras.
Les réfugiés Guatemaltèques et dans une moindre mesure Salvadoriens au Honduras voudraient retourner dans leur pays.
Description de la vie dans les camps de réfugiés Guatemaltèques et Salvadoriens situés à la frontière du Honduras
Les réfugiés Salvadoriens au Honduras sont pourchassés par les autorités militaires, le ONU Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) des Nations-Unis a été amené à organiserun programme d'aide et a installer des camps pour eux. En fait les Etats-Unis souhaiteraient un déplacement de ces camps loin de la frontière du Salvador, mais selon l'auteur la meilleure solution consiste à ne pas effectuer de nouveaux déplacements de population.