Deux points essentiels se dégagent de cette étude : la relation entre le rapport au savoir et le positionnement social chez les femmes asiatiques dans une approche plutôt sociologique (psycho-sociologique et socio-clinique) ; les questions posées autour de la situation interculturelle telles que l'acculturation, le problème d'identité, le conflit des valeurs, et la question du retour avec une approche phénoméno-compréhensive. Ces deux approches amènent en fin de compte à réfléchir sur le sens de l'éducation des femmes asiatiques et à leur proposer de nouvelles valeurs qui leur permettront de faire un pas plus confiant dans la direction de leur autonomie et de leur épanouissement.
Considérant que dans le domaine des mouvements migratoires en Asie, les questions qui ont retenu essentiellement l'attention en 1994 étaient celles des travailleurs sans papier, des femmes migrantes, du croisement de la migration avec l'économie et la diplomatie, l'auteur dégage les thèmes majeurs qui ont été abordés par la presse asiatique en 1994. Elle distingue les sujets qui concernent les pays d'accueil, demandeurs d'une main-d'oeuvre peu qualifiée (Taïwan, Malaisie, Corée du Sud, Japon) des pays exportateurs de main-d'oeuvre avec ou sans qualification professionnelle (Indonésie, Philippines, Chine).
Le Conseil Economique et Social a adopté un avis sur le rôle de la France dans les principaux pays du Pacifique Nord : Corée du Sud, Hong-Kong, Indonésie, Malaisie, Philippines, Singapour, Sultanat de Brunei, Taïwan et la Thaïlande, le développement de la présence des Français à l'étranger, la coopération internationale, et le transfert de technologies.
Analyse de l'importance du transfert de fonds des émigrés asiatiques venant du Bangladesh, de l'Inde, du Pakistan, des Philippines, de Corée du Sud, du Sri Lanka et de Thaïlande entre 1980-1985 et de l'utilisation de ces transferts de fonds pour le développement économique des pays de départ.