Explore les conditions d'établissement du dialogue interculturel des travailleurs sociaux dans l'exercice de leur profession, confrontés en permanence aux différences culturelles. Analyse les situations et les questions soulevées par les différences culturelles entre le professionnel d'un service social, son institution et ses interlocuteurs originaires d'autres sphères culturelles.
Comment l'enseignant peut-il concrètement gérer des classes avec des élèves d'origines culturelles différentes, hommes et femmes, jeunes et vieux, migrants économiques et réfugiés ?... Il n'est pas possible pour l'enseignant de ne pas prendre en compte la diversité de leurs appartenances, mais il lui est tout aussi impossible d'avoir toutes les connaissances qu'exigerait a priori un tel "échange équitable". Voici un véritable manuel de formation à l'enseignement apprentissage du "français langue seconde en France".
Quelle conciliation possible entre le mouvement de mondialisation et le respect des cultures ? Les réflexions apportées ici, visent à nourrir le débat actuel sur les relations entre les cultures, la mondialisation et les différences culturelles.
La mondialisation signifie aussi rencontres et échanges généralisés entre cultures à un degré jamais atteint jusqu'à présent. L'interculturel est déjà un fait, qui ne fera que s'amplifier demain. Cet ouvrage est à la fois une réflexion et un guide à propos du phénomène qui touche désormais la plupart de hommes sur la planète. (4e de couverture)
«A domicile, choc des cultures» est une journée d'études organisée par l'Institut régional de formation et de recherche en aide à domicile (IFRAD) en juin 1998 à Paris. Les différentes interventions apportent une réflexion sur : - le domicile, sphère du privé, synonyme d'intimité; - la rencontre entre la personne aidée et l'aide à domicile : comment accepter «l'Autre différent» au sein de son intimité ; - la construction de la relation professionnelle à domicile.
L'autorité des adultes sur les jeunes n'est plus ce qu'elle était. Aujourd'hui, aucune figure de l'autorité n'est à l'abri de la contestation des jeunes ou même d'autres institutions. Dans les banlieues sensibles, les adultes paraissent parfois dépassés par les événements. Le choix n'est pas entre la démission, la fuite et la volonté de s'imposer malgré tout. Une troisième voie possible est la création d'un nouveau type de relations entre jeunes et adultes aussi bien au niveau de la société globale et de ses institutions que dans le quartier, à l'école ou dans les familles.
Dans les sociétés occidentales, la médiation sert le plus souvent à mettre fin à des conflits par le compromis ou au moins par la négociation dans le respect des identités. Cette pratique oppose la médiation à la résolution des conflits par l'exercice en force du pouvoir au bénéfice d'une seule des parties en présence.
Le processus de la médiation pénale peut se trouver compliqué par les différences culturelles existant entre les parties. La prise en compte de ces différences par le médiateur ou la médiatrice conditionne largement le succès éventuel de la médiation. Le médiateur ne doit pas se poser en allié de l'une ou l'autre des parties mais conserver une aussi grande neutralité que possible.
Identité culturelle et intégration : mais débats et fausses questions. A la recherche d'une troisième voie, entre le communautarisme à l'anglo-saxonne et l'assimilationnisme à la française.
Les différences culturelles compliquent la vie des intervenants sociaux, éducatifs et médicaux dans des familles «autres». Prendre position est nécessaire, mais insuffisant, il y a des situations à gérer au jour le jour. Comment faire, en conciliant à la fois une perspective d'intégration à long terme, le respect de sa propre culture et celle des «autres». Quelle approche privilégier : juridique ou pédagogique, idéaliste ou pragmatique. Les obstacles culturels aux interventions sociales, comme l'ouvrage précédent "Les obstacles culturels aux apprentissages", tente de donner aux intervenants des champs social, médical et éducatif, les outils pour comprendre et analyser de nombreuses situations déroutantes, et par là faciliter le dialogue et trouver des solutions efficaces. Comprendre sans toujours justifier; parler de cultures sans tomber dans des stéréotypes; donner des outils théoriques sans cesser d'être pragmatique. Voilà quelques paris que l'auteur a voulu tenir.
Pour l'auteur, il est urgent de mettre à jour nos conceptions concernant l'identité, la culture, la communauté et l'intégration.
Interrogations des formateurs quant à leur attitude vis-à-vis des stagiaires, de leurs différences, tant sur le plan social, économique, religieux, qu'interculturel.
Guide à l'usage des formateurs visant à décrire l'ensemble des obstacles culturels qui entravent les processus d'apprentissage et d'apprentissage de la langue des stagiaires. Parce qu'elle implique une hiérarchisation différente des valeurs de référence, la culture de l'immigré ou la culture populaire détermine des comportements et des représentations qui interférent dans les situations de communication et de formation.
Récit autobiographique où se croisent les problèmes de métissage dûs à la nationalité, à la langue. L'apprentissage et la promotion sociale sont de l'ordre du métissage et souvent ressentis comme une trahison de son métier, de sa caste.
Les études comparatives sur la migration internationale en Europe occidentale et sur l'expression du racisme dans plusieurs pays européens sont devenues de plus en plus fréquentes. Ces études peuvent être divisées, sur la base de leurs intentions et de leurs objectifs, en trois catégories relativement distinctes, mais elles présentent toutes un point faible, dans le sens qu'elles sont incapables d'élucider les généralités et la spécifité des flux migratoires, et le caractère politique et idéologique des réactions de ces migrations. à partir de là, l'étude comparative met en lumière le besoin d'une méthodologie alternative et d'une structure théorique pour faire de telles analyses comparatives.