L'implantation de camps de réfugiés dans diverses régions de l'Afghanistan, du Pakistan et du Soudan ne contribue pas à l'amélioration de l'environnement de ces pays, déjà touchés par les guerres et la sécheresse. Afin de pallier le problème, plusieurs organismes mettent au point, avec l'aide des réfugiés (Tchadiens et Afghans) et de la population déplacée des programmes de reboisement ou d'endiguement dans les zones de désertification.
Un projet de réadaptation des non-voyants au Pakistan a permis aux réfugiés Afghans atteints de cécité d'acquérir une indépendance nécéssaire pour s'intégrer dans la société. En revanche, en Ouganda, les conditions d'existence sont plus difficiles pour les réfugiés Soudanais atteints d'un handicap physique.