L'auteur démontre le mécanisme de la filiation entre le malaise créole et le mal français d'où il ressort que malgré les apparences cet état de choses profite davantage à la métropole qu'aux Créoles eux-mêmes. De cet amer constat il conclut néanmoins que la communauté créole peut sortir de son malaise à la condition d'assurer elle-même la promotion de la créolité considérée comme une micro-civilisation originale de nature à enrichir le patrimoine culturel français ;