En dépit d'un niveau de qualification professionnelle souvent élevé ou d'un parcours universitaire classique, les femmes françaises d'origine étrangère se heurtent souvent encore à de multiples difficultés pour simplement exercer leurs compétences sans déqualification professionnelle, quand elles n'ont pas à subir de longues périodes de chômage, un travail à temps partiel ou de laborieuses mesures d'insertion qui en disent long sur le degré de discrimination dans notre société ou sur son déni.(Présentation de l'éditeur)