La théorie du seuil de tolérance dans les relations interethniques présente le racisme comme un trait inhérent à la nature humaine. Les auteurs s'attachent ici à montrer par des exemples de voisinage de quartier que les relations interraciales impliquent une charge affective, perceptive, idéologique. Il faut tenir compte des représentations que chaque individua des représentations de l'espace, du monde social dans lequel il évolue.