Cet article porte sur les représentations et pratiques relatives au corps telles qu'elles sont mises en acte et en parole par les migrants guadeloupéens en Ile de France. Si ces représentations et pratiques évoluent et se créolisent en fonction du contexte migratoire et des contacts avec d'autres groupes sociaux, elle s'inscrivent également dans la continuité et sont garantes d'une unité et d'une identité antillaise. (résumé de l'auteur)