Pour cette étude, des magistrats et des travailleurs sociaux confrontés à des mineurs et à des familles migrantes ont témoigné avec des arguments sur lesquels reviennent les auteurs : méconnaissance des cultures (de la leur comme de celles des collectifs étrangers), de leur peu d'intérêt pour une telle connaissance et de la barrière qu'un préjugé de supériorité fait peser sur leurs interventions.