Relations internationales, gauche française et circonstances du déclenchement de la guerre d'Espagne, l'accueil réservé par la France aux réfugiés républicains espagnols relatés par un homme politique et un témoin des événements.
Le droit constitutionnel a une double fonction didactique et juridique. Du côté de la conscientisation une Constitution porte les marques d'une mémoire collective et traduit une identité nationale. Le mot race, est porteur de valeurs culturelles historiques (esclavage, colonisation, Vichy, nazisme...), il traduit une conception spécifique de la communauté nationale. Du côté du juridique, la Constitution implique et motive le droit civil notamment le droit pénal et elle est en situaton d'interdépendance avec le droit international public, convention(s) internationales légiférant entre autres les droits de l'homme. Une modification de la Constitution française portant sur la suppression ou la substitution du mot race doit donc envisager cet infra droit et ce droit comparé sur un mode à la fois diachronique (sources du droit) et prospectif; Quelles ont été les modalités d'introduction du mot race dans les législation, réglementation et textes fondateurs en vigueur; Quels seraient les effets symboliques et pénal d'une suppression en politique intérieure et relations internationales, en justice, (pénalisation des actes et propos racistes).
C'est dans le but de contribuer à une meilleure information sur la situation des réfugiés africains sur les différents niveaux de responsabilité à l'origine des exodes, et de rechercher le type d'actions à soutenir pour réduire et prévenir le phénomène du refuge, que la CIMADE, l'INODEP et le MINK ont organisé deux colloques sur ce problème. Ce document reprend en les amplifiant les débats du dernier colloque, insistant sur les causes profondes : les pratiques anti-démocratiques et répressives de nombreux gouvernements africains, les guerres alimentées par les armes et les stratégies politiques des grandes puissances, les intérêts économiques, étrangers et africains, sous-jacents à ces problèmes politico-militaires, pour la plupart hérités de la colonisation et prolongés par des structures néo-coloniales.