Après avoir souligné la fragilité des fondements théoriques de l'asiatisme, l'auteur montre en quoi ces schématisations relèvent d'une ethnologisation abusive, met en garde contre une féchitisation des différences revendiquées par le discours asiatique et souligne les deux écueils à éviter de la part de l'Occident : disqualifier les Asiatiques du bénéfice des droits de l'homme, mais aussi checher à imposer la vision occidentale qu'elle en a.