Les recherches entreprises par l'auteur sur des populations de réfugiés Ethiopiens de sexe masculin établis aux Etats-Unis (Californie, Nevada et Washington) montrent que le niveau de stress (tendances à la dépression et au suicide) est plus élevé chez les réfugiés installés par des organismes spécialisés que chez ceux dont l'établissement à été confié à des volontaires. L'auteur propose quelques recommandations pour l'amélioration du processus d'insertion de ces réfugiés.