La politique des étrangers en Suisse ressemble à un soft-aprtheid fondé sur la diversité des permis de travail. Il s'agit plus précisément de permis de travail subdivisés en sous-catégories, auxquels s'ajoute la catégorie de facto des clandestins, divisant les travailleurs en groupe correspondant à des durées de séjour différentes, à des droits sociaux différents, à des différences au niveau du regroupement familial, à des différences en matière de scolarisation des enfants, à des obligations fiscales différentes, etc. (Introduction de l'article)