Les auteurs, mettant en évidence, dans un premier temps, les problèmes auxquels sont confrontés les organismes s'occupant de réfugiés, et les réfugiés eux-mêmes, face à la détérioration croissante de l'environnement, décrivent, par la suite, deux exemples de reboisement qui ont permis, au Pakistan, "d'allier le sauvetage de l'environnement avec des activités génératrices de revenus" pour les réfugiés Afghans et, au Honduras, de travailler directement avec les Indiens Miskitos.