Réfugiés depuis 10 ans au Mexique, plusieurs milliers de Guatémaltèques, ont pu regagner leur pays, dès janvier 1993.
De nombreux Afghans, réfugiés depuis quatorze ans au Pakistan, attendent avec impatience, malgré les dangers qu'ils encourent encore dans leur pays, de pouvoir rentrer chez eux.
Les auteurs, mettant en évidence, dans un premier temps, les problèmes auxquels sont confrontés les organismes s'occupant de réfugiés, et les réfugiés eux-mêmes, face à la détérioration croissante de l'environnement, décrivent, par la suite, deux exemples de reboisement qui ont permis, au Pakistan, "d'allier le sauvetage de l'environnement avec des activités génératrices de revenus" pour les réfugiés Afghans et, au Honduras, de travailler directement avec les Indiens Miskitos.
Un premier article retrace le retour, au Nicaragua, des Indiens Miskitos qui, il y a une dizaine d'années, avaient fui leur pays pour trouver refuge au Honduras. Un second article analyse la situation économique, sociale..., des milliers de réfugiés Guatémaltèques-dont la majeur partie est composée d'Indiens Mayas-installés au Mexique.
Le devenir des réfugiés Salvadoriens et Nicaraguayens après la fermeture en 1990 des camps de réfugiés de Colomoncagua au Honduras et de Pueblo Nuevo de Limon au Costa Rica.