Remettant en cause les frontières adoptées par les chefs d'Etats au Caire en 1964, cet essai propose de définir les nouvelles réalités politiques, les dynamiques de terrain pour diminuer les effets négatifs des tracés artificiels, responsables de conflits et d'un mauvais développement.
Nous vivons sur une idée fausse et dangereuse : parce que le monde est devenu plus fluide et l'économie globalisée, les frontières seraient condamnées à disparaître. Or, depuis quinze ans, plus de 26 000 kilomètres de frontières politiques ont été tracées rien qu'en Europe et en Asie centrale et autant ont fait l'objet d'accords internationaux... (extrait de la quatrième de couverture).
Entretien qui répond aux interrogaitons portant sur les rapports réciproques de l'identité européenne, nationale et régionale dans le contexte de l'entité européenne et sur la facilitation ou l'obstacle que constitue l'Europe en matière d'expression de ces identités.