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 1998 
CLAVEL, N; RIO, Fabienne

Appartenir en immigration
In. : Tumultes, 1998. - p. 165-197

Domaines : Généralités : identités culturelles et relations interculturelles
Sujets : Identité nationale; Communauté
Noms géographiques : Ex Yougoslavie
Populations : Français; Algériens

Au sommaire : venir d'un pays qui n'existe plus, les immigrés de l'ex-Yougoslavie en France ; immigrés franco-algériens et conflits identitaires.

Localisation du document : CNDP-VEI (N° interne 10481)
Langue : FRE
Type de document : Périodique




2



CLAVEL, N
CNRS : Groupement de recherches Migrations internationales et relations interethniques

Le sentiment d'appartenance des immigrés ex-yougoslaves en France
In. : Dynamiques migratoires et rencontres ethniques : actes des Journées Universitaires d'Automne, Rennes 15-16-17 septembre 1997, 1998. - p. 259-264

Domaines : Généralités : identités culturelles et relations interculturelles
Sujets : Identité nationale; Multiculturalisme; Mémoire collective; Musulman; Représentation
Noms géographiques : France
Populations : ex-Yougoslaves; Français

Avant que la guerre n'éclate en 1991, le système d'identification yougoslave distinguait la nationalité de la citoyenneté. L'appartenance nationale se situait quelque part entre l'appartenance locale ou régionale (serbe, croate ou musulmane) ou l'appartenance fédérale (yougoslave). De plus, en ce qui concerne l'imbrication entre l'appartenance nationale et religieuse, il faut préciser que les Serbes, les Monténégrins et les Macédoniens sont des chrétiens orthodoxes, les Croates et les Slovènes catholiques, les Bosniaques et les Albanais musulmans. La guerre a non seulement déchiré les peuples de l'ex-Fédération, mais en brisant ce système d'identification plurielle a aussi atteint au plus profond d'eux-mêmes les immigrés d'ex-Yougoslavie installés en France. Le conflit de l'ex-Fédération a donc poussé ces immigrés à modifier la perception de leur propre conscience, à reformuler leur sentiment d'appartenance. Même s'il y a eu exportation de l'ethnicisation en France, le référent national n'est pas devenu le pôle de cristallisation identitaire de chaque ex-Yougoslave. L'auteur a observé deux types de réponses. D'une part, l'attachement au multiculturalisme "pour ne pas se perdre". D'autre part, l'identification au référent national, vécue comme une sorte de retour aux origines, pour ne pas se retrouver.

Localisation du document : REMISIS : SIMO DYNA; MIGRINTER (N° interne 3847)
Langue : FRE
Type de document : Ouvrage

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