L'auteur montre que l'auto-organisation et le contrôle de soi ont contribué au succès des entrepreneurs Chinois à Singapour. Mais l'entrepreneur n'est pas analysé comme un héros solitaire qui a réussi. C'est un «marchand confucéen», dont le moi est lié aux «autres» (la famille, la parenté, le clan, la communauté) par un réseau de relations primaires et secondaires, ces dernières ayant été «familiarisées» avec succès, ce qui implique le respect et la confiance, la loyauté et des obligations.