En appui sur des terrains réalisés auprès de travailleurs migrants indonésiens, entre l'Indonésie, la Malaisie et Singapour, l'auteur propose d'aborder ces expériences dans une perspective sociologique. En montrant que les affects attachent les migrants à leurs lieux, il souligne que les considérer permet de saisir des parcours migratoires autrement difficiles à lire.