Les enfants issus de l'immigration turque, italienne ou yougoslave empruntent plus souvent que les enfants d'Allemands la voie des Hauptschulen, filière la moins prestigieuse du système scolaire. Les enfants grecs, en revanche, accèdent plus fréquemment que les autres au Gymnasium, antichambre de l'enseignement supérieur. Les handicaps ethniques, le climat culturel du foyer parental et le caractère plus ou moins continu de la scolarité en Allemagne contribuent à expliquer les différences (résumé de la revue)