La majorité des mariages contractés par les deuxièmes générations turques vivant en France sont des mariages arrangés par les familles, contractés entre cousins. Mariages arrangés, avec l'assentiment des époux qui fait de l'endogamie la règle mais qui ne sont pas pour autant des mariages forcés. Les vraies difficultés concernent surtout les femmes conjointes de Français, d'un niveau social supérieur à leur mari, et qui découvrent à leur arrivée en France, des conditions de vie parfois difficiles.